CERCC
 

Guillaume ARTOUS-BOUVET et Eric DAYRE, "L’amour, au lieu du poème", Jeudi 3 mars, Jeudi 7 avr, Jeudi 5 mai, Jeudi 2 juin, École normale supérieure de Lyon, séminaire CIPh/CERCC

Leighton, "Tristan and Isolde", 1902

Guillaume ARTOUS-BOUVET et Eric DAYRE

L’amour, au lieu du poème Jeudi 3 mars, Jeudi 7 avr, Jeudi 5 mai, Jeudi 2 juin, École nor­male supé­rieure de Lyon.

Les infor­ma­tions com­plè­tes seront indi­quées sur le site www.ciph.org

Séminaire orga­nisé avec le CERCC, Centre d’Études et de Recherches Comparées sur la Création (EA 1633), dirigé par Éric Dayre, à l’ENS Lyon. Si, au terme du par­cours de l’année pré­cé­dente, consa­cré à une lec­ture de Derrida, le poème a pu nous appa­raî­tre comme l’un des noms de l’indé­cons­truc­ti­ble, il n’aura tenu ce nom que d’une décla­ra­tion qu’il faut dire « amou­reuse » : ce qui se lit, notam­ment, dans La Carte pos­tale, Circonfession, et Feu la cendre, où la poésie ne s’entend que d’un chant d’amour impos­si­ble et biffé.

Comment dès lors penser cet « amour » qu’un phi­lo­so­phe contem­po­rain comme Giorgio Agamben situe à la source para­doxale du poème, lorsqu’il écrit que le lieu ori­gi­naire du poème « se pré­sente […] comme un lieu d’amour » ?

Et com­ment penser réci­pro­que­ment la poésie, si l’amour en est une condi­tion essen­tielle, au sens badiou­sien ?

C’est par un par­cours de lec­ture à tra­vers la poésie fran­çaise moderne et contem­po­raine depuis Baudelaire jusqu’à Michel Deguy – au moins – que cette troi­sième année du sémi­naire ten­tera de répon­dre à cette double ques­tion.

Lien de visio confé­rence :

https://ent-ser­vi­ces.ens-lyon.fr/ent­Vi­sio/qui­ck­join.php?hash=1b0­bad3aa05c1a23f6ebb4e­fa69ef23792c3636d1­fa2935­ba95aa4629af2db1a&mee­tin­gID=8383

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