CERCC

-  Le 8 décem­bre 2006 "Traduire Cervantès, tra­duire Sterne"

vidéo 1 | vidéo 2.

-  Baudelaire, "proser-tra­duire" ?

- mars 2007 Journée Antoine Berman," Baudelaire tra­duc­teur de Poe" . Intervenante : Claire Hennequet.

- 20 mars 2008 Mallarmé et les mots anglais. Alessandro de Francesco, « Car c’eût été la vérité ! Polysémie du poème et onto­lo­gie de l’absence chez Stéphane allarmé

- La place des tra­duc­tions lit­té­rai­res en biblio­thè­que.

-  Journée Antoine Berman, Sur Walter Benjamin, "La tâche du tra­duc­teur". .

- 30 jan­vier 2009 Journée Antoine Berman, Journée d’études Franco Nasi, La mélan­co­lie du tra­duc­teur, tra­duire Coleridge, Leopardi et aujourd’hui.

- 13 octo­bre 2010 Journée Antoine Berman : "la tra­duc­tion : une science ?" 15h-17h, Journée orga­ni­sée par Eric Dayre.

À l’aide de deux livres emblé­ma­ti­ques - Uitnodiging tot de ver­taal­we­ten­schap [Invitation à la science de la tra­duc­tion] de Raymond van den Broeck et André Lefevere (1979) et Vertaalwetenschap. Ontwikkelingen en pers­pec­tie­ven [Science de la tra­duc­tion. Développements et pers­pec­ti­ves] de Kitty M. Van Leuven-Zwart (1992) - nous esquis­se­rons la situa­tion de la tra­duc­to­lo­gie en Flandres, la partie néer­lan­do­phone de la Belgique, et aux Pays-Bas. Cette tra­duc­to­lo­gie est for­te­ment influen­cée par l’appro­che des­crip­tive de l’école de Tel-Aviv (Gideon Toury, Itamar Even-Zohar), une appro­che cri­ti­quée par Antoine Berman. Nous nous pose­rons entre autres les ques­tions sui­van­tes : Pourquoi les cher­cheurs fla­mands et hol­lan­dais ont-ils choisi cette appro­che, cette voie des­crip­tive ? Quels sont les résul­tats de cette appro­che ? Où cette voie nous mène-t-elle ?

Participants  : Winibert Segers et Henri Bloemen, KULeuven/Lessius, Aurélien Talbot, CEP Lyon.

- voir Journée Ryoko-Sekiguchi. Voir également ici : Sekiguchi, Ryōko. Texte-repère : "L’auto-tra­duc­tion ou l’arti­fice de la contrainte", in : Po&sie (2002) n° 100, p. 260-261, Belin.

- Journée Nathalie Stevens, orga­ni­sée par Myriam Suchet

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