En collaboration avec l’ENSASE et le CIEREC de L’Université Jean Monnet de Saint Etienne. La Chaise-Dieu - Architecture, Arts, Pensée Multimédiale et Innovation (acronyme : LCD2APMI)
MM. Eric Dayre (ENS,CERCC), Evelyne Chalaye (ENSASE), Jean-Luc Bayard (ENSASE et CERCC), Anolga Rodionoff (UJM, CIEREC)
Ce projet, en attente de financement, est né dans le cadre de la collaboration de formation-recherche création menée depuis 2016 entre le CERCC de l’ENS et l’ENSASE. Il a vocation à être un lieu de circulation des connaissances et de création dans un espace d’analyse et d’échanges d’expérience entre le monde de la recherche, le monde de la création et la sphère de la décision politique sur des questions de vie et d’organisation des territoires.
Il repose sur trois fondements :
1. Une réflexion menée en commun par des chercheurs de l’ENS, de l’UJM et de l’ENSASE sur l’état des lieux et les besoins existant en matière de circulation des savoirs et pratiques entre le monde de la recherche et de la création, et les responsables du pilotage de l’action publique.
2. Un travail de sensibilisation et d’intermédiation entre chercheurs créateurs et décisionnaires à travers des ateliers, des classes de maitre et des séminaires.
3. La conduite de recherches-actions sur des thématiques et selon des modalités définies en commun au plus près des problématiques d’un territoire en mutation.
1. Un lieu particulier
Le territoire de La Chaise-Dieu est un territoire millénaire, fondé dans la tradition clunisienne et devenu au Moyen-Age, par essaimage des bâtisseurs qu’il a formé, un centre rayonnant. La profondeur historique y donne à lire l’articulation entre les oeuvres (architecture du XIVe siècle, fresque du XVe, tapisseries du XVIe, grandes orgues du XVIIe), donc la visée d’une synthèse qui se construit avec et par la création, comme si le projet se révélait dans la synthèse des arts. Le projet se poursuit aujourd’hui (festival de musique au XXe siècle, projet chaise-dieu -), produisant une attraction à partir de laquelle plusieurs établissements d’enseignement supérieur (ENS de Lyon, Université Jean Monnet, Ecole d’architecture de Saint-Etienne) proposent de coopérer, pour réfléchir aux interactions entre université et territoire, donc aux partenariats entre acteurs académiques et acteurs économiques, pour bâtir la collaboration entre les établissements qui est au fondement de l’Université de Lyon, sur la base d’actions pluridisciplinaires, associant innovation pédagogique, pensée de la technique, recherche et diffusion des savoirs sur les liens entre arts, technique, formes et modes de vie.
2. Le projet en « création, recherche, potentiels du territoire » : un axe Lyon- Saint Etienne- la Chaise Dieu
On oublie aujourd’hui trop souvent dans l’évaluation des richesses potentielles d’un pays de partir de l’hypothèse selon laquelle les ressources matérielles latentes et les dynamiques humaines du territoire peuvent devenir une source d’invention et d’innovation. En partant des ressources matérielles propres d’un milieu, il est possible de soutenir une culture constructive différenciée, singulière et propre à ce milieu. De la même manière, le portage actif du geste créateur et artistique dans une démarche soucieuse de la vie d’un territoire et du lien humain nous semble être la source d’une triple fécondation de l’art de l’aménagement fondé sur l’attention spécifique aux ressources comme aux problématiques propres au territoire. Il s’agit donc de prendre en compte une globalité sociale, économico-culturelle et humaine, dans la perspective d’une création et d’une recherche liées entre elles et bénéfiques d’un point de vue social et économique. La rénovation de l’abbatiale et de ses bâtiments permet de dégager des capacités d’accueil sur une surface autorisant des activités de plateau et des séminaires de création-recherche, des séminaires et des colloques de réflexion sur les aspects de l’aménagement humain en liaison avec les arts vivants et leurs apports sociétaux. Des espaces d’action et d’exposition sont de nature à donner vie au lieu et d’assurer des retombées économiques sur le site, en développant son potentiel d’accueil et en ouvrant la proposition à des programmes de formation par la recherche et la création, de classes de maîtres, de séminaires pratiques accompagnés de séminaires de réflexion critique, qui permettraient d’incarner la profondeur du territoire et les potentialités de la région AURA. A l’heure où l’on interroge le sens et la viabilité de la polarisation et des concentrations métropolitaines, il nous semble important de réfléchir aux possibilités d’un rééquilibrage en faveur des territoires ruraux, en y intégrant des lieux où l’université et la création rencontrent la réalité diverse d’une région. Le projet que nous soumettons vise rien moins que la création d’un pôle de compénétration des territoires et de la métropole en dehors de la métropole, en permettant à des établissements supérieurs d’enseignement et de recherche d’animer des recherches et des actions multimédiales et multimodales sur les aspects matériels et immatériels de l’innovation et de l’aménagement régional. Ce territoire pourrait servir de modèle en situation pour donner les pistes d’une redynamisation et d’un sens de l’organisation fondés sur les potentialités des territoires profonds, ces territoires n’étant plus considérés comme des « marges », mais comme des espaces positifs et nécessaires à l’équilibre économico-culturel de la région AURA. Il s’agit donc d’esquisser un modèle de développement non réservé aux métropoles, un modèle dont la nécessité se fait fortement ressentir aujourd’hui.
3. La méthode : recherches architecturales et modalités de créations et d’innovations « généralisables »
Dans ce cadre, l’architecture possède un rôle privilégié dans une politique générale de compréhension des matérialités dans la dynamique de territoire. La réflexion sur l’architecture du territoire peut construire des alliances avec les différents acteurs impliqués : des politiques, des propriétaires fonciers, des artisans locaux, des investisseurs. Elle invite à une politique générale basée sur la spécificité d’un lieu favorisant à la fois une appropriation et une résilience du territoire. Le premier volet du projet consiste dans le financement d’un doctorat portant spécifiquement sur les nouvelles matérialités, et en particulier à La Chaise-Dieu : la question de la filière bois et des potentiels de ce matériau pour la construction contemporaine. Cette thèse se fera en collaboration avec la stratégie développée par l’entreprise les Fils Philipon. Les nouveaux outils de conception paramétrique permettent notamment aujourd’hui d’autres applications des matériaux dans une perspective de mise à jour qui les rend plus variés et complexes, et économiquement plus compétitifs.
3.1. Le doctorat en art et architecture
D’une part, ce terrain d’études est une opportunité pour développer un projet de recherche sur les questions des matérialités contemporaines en milieu rural. La proximité de certaines ressources matérielles lui ont procuré la matière de ses édifices, des murs, des toits, son architecture. Ce milieu physique est essentiel pour en comprendre les potentialités et les dynamiques pour son devenir. Ces dynamiques ont pu être refoulées par d’autres logiques aculturalisantes, des logiques économiques plus globales, ou des décisions d’aménagement de politiques nationales, de sorte que certains liens qui articulaient naturellement La Chaise-Dieu à son milieu ont été altérés et oubliés. Les raviver en les comprenant pourrait fournir un modèle intelligent et agile pour développer des territoires à la fois à partir de la base significative et historique de leur patrimoine et à partir d’une réflexion sur les potentiels de leurs ressources propres, en prenant ici, en l’occurrence, un appui sur la problématique de la filière bois et de la gestion et et de l’exploitation de la ressource forestière, en collaboration avec les activités de l’entreprise les Fils Philipon.
Le projet comprend donc le financement d’un doctorat ciblé sur les questions suivantes : les choix constructifs exprimant une relation sensible et politique au territoire, la mise en forme des matériaux à la mise en oeuvre des processus de construction selon une « Manière d’Architecture », c’est-à-dire l’inscription singulière, dans un paysage, d’un acte architectural pour une société. L’architecture se situe à la croisée des arts formels et des fonctionnalités d’aménagement et de vie dans un territoire. Cette « manière » se constitue pour partie, au travers de cette rencontre entre l’expression des matières-matériaux mis en oeuvre et un milieu à la fois géographique et politique dans lequel ils entrent en résonance. Ces ressources sont matérielles, naturelles, énergétiques et humaines : le territoire est aussi un conservatoire de ressources.
3. 2. Matérialités visibles et pratiques vivantes en création-recherche et innovation dans le Projet de La Chaise Dieu
La dimension matérielle et constructive de l’architecture est fondamentale pour comprendre l’interface du domaine technique de la construction et du domaine culturel et esthétique. Pour l’architecture et le paysage, la matérialité est chargée d’une dimension expressive, poétique, qui appelle aux rôles diversifiés que les matériaux et les techniques jouent dans l’évolution de nos sociétés comme dans l’innovation contemporaine. Au plus près des questions politiques et environnementales d’un village, on peut s’inspirer aujourd’hui des cultures et pratiques artistiques engagées dans les questions écologiques. L’on portera ainsi une réflexion sur les relations entre l’espace physique, l’espace mental et l’espace social. L’action des projets d’architecture permet de penser des formes de résistance au nivellement des cultures et de pérenniser des relations sensibles et émancipatrices dans nos relations à la nature. En effet, telle qu’elle s’est définie à partir de la Renaissance avec Alberti notamment, la discipline architecturale a puisé dans l’héritage des Antiques pour s’actualiser à travers l’écriture et diffuser ses théories et ses modèles grâce à l’imprimerie. La question du langage de l’architecture, son désir d’expression, à travers la parole comme par l’écrit, reste un enjeu permanent en architecture, comme en témoignent les débats critiques actuels qui, de ce point de vue, ne font que prolonger la pensée de l’oeuvre des grands bâtisseurs du Moyen Age et de la Renaissance. Cette question de l’expression en architecture est reconduite par son rapport aux autres arts : photographie, peinture, musique, théâtre, performance. Entre architecture et écriture, aujourd’hui, se tissent encore bien des passerelles, des interrogations soucieuses des matérialités de la vie elle-même. La question de la relation profonde entre la dimension de matérialité dans l’architecture et les désirs d’expression dans l’écriture et les arts poétiques en général comporte donc, stricto sensu, un enjeu vital. L’établissement du pôle « création et recherches multimodales » à La Chaise Dieu se place donc dans la vocation spirituelle et humaine de la Chaise-Dieu, qu’il entend prolonger concrètement. Appuyé par les collectivités territoriales, la municipalité, l’intercommunalité et le Syndicat mixte du projet de la Chaise-Dieu, les espaces de ce pôle permettront la tenue d’activités de recherches universitaires, en lien avec l’accueil d’artistes en résidence, la tenue d’ateliers, de stages communs entre artistes et chercheurs de l’UDL autour des pratiques humaines de « l’oeuvre ». Dans les salles mises à disposition par la commune et le syndicat du projet de la Chaise Dieu, les activités seront tournées vers les publics et les usagers concernés par l’interface création/aménagement/ vie du territoire. L’ouverture des « master-classes » de création-recherche servira d’incubateur pour un tourisme culturel « haut de gamme ». La production et la valorisation des oeuvres prolongeront l’attrait de la Chaise Dieu en termes de tourisme culturel. A terme, et en lien avec le projet de la Chaise-Dieu, un centre de réflexion sur l’innovation et un lieu de rencontre et d’échanges d’expérience entre créateurs, artistes, chercheurs et usagers professionnels, acteurs industriels, du bâtiment et des travaux publics pourra voir le jour.
II. Ancrage dans la stratégie de l’établissement, en lien avec la politique du site
L’ancrage se fait à la fois par la formation à la recherche (vocation de l’ENS Lyon et de l’Université Jean Monnet) et par la recherche en architecture et aménagement (vocation de l’ENSASE). Le pôle d’action à la Chaise Dieu est dédié à la formation à la recherche par la création en tenant compte des enjeux contemporains de l’aménagement des territoires. On se situe donc résolument dans le domaine « Humanités et urbanité » et dans celui des Humanités et des savoirs fondamentaux. Les créateurs et les artistes sont ici au coeur du processus de recherche comme de la remontée et de l’essaimage des savoirs. L’UDL tirera un grand bénéfice de définir les alternatives à une pensée académique purement abstraite, analytique, descriptive et pauvre en implications sociétales. Notre but est de proposer une conception intégrée de la formation à l’innovation, de la formation à la négociation en contexte fin, à l’adaptabilité des exigences élevées des programmes de création menés à finalisation, de promouvoir l’étude de l’efficacité et l’apprentissage de la rigueur souple, afin que fonctionne le dialogue entre les humanités, le travail de création et les pratiques concrètes, en particulier l’apprentissage de la réalisation d’une oeuvre et des mécanismes de sa transmission fondée sur la mise en commun des talents.
III. Partenariat, impact et retombées du projet, stratégie de valorisation
Aucune métropole n’est un île qui serait coupée de ce qui n’est pas elle. Nous nous situons dans le cadre du domaine d’excellence « urbanités et humanités » de l’UDL et sur des thématiques croisant plusieurs domEx de la région : « Bâtiments et Travaux Publics », « Forêt », « Tourisme ». La présence maintenue des activités de recherche, grâce à un pôle de création-production à la chaise-Dieu, lui même fondé sur le pôle pérenne des activités économiques et des ressources de réflexions et de rencontres entre publics, artistes, professionnels et chercheurs sur le territoire, nous paraît de nature à redynamiser fortement ce dernier. Parmi les retombées du projet nous semble majeure la réflexion in situ sur la régionalisation de l’enseignement supérieur. Si cette régionalisation doit se construire au bénéfice des régions et des territoires, il faut vraiment considérer les territoires. Il est donc essentiel de partir d’une compréhension profonde de ce qu’est une région, et surtout de ce que sont les potentiels de cette région. Seule une compréhension fondée sur le patrimoine régional et l’histoire d’un territoire peut s’interpréter dans le sens des logiques de l’avenir, s’adapter au monde contemporain, sans rien renier de l’histoire et des caractéristiques du territoire où la région s’est inventée et continue à proposer sa particularité. La fidélité au territoire suppose la mise en oeuvre de cette fidélité, donc son évolution innovante. Repenser l’habitabilité des territoires permettra de repenser en profondeur l’habitabilité générale d’un territoire où l’urbanité et la ruralité doivent désormais se rencontrer et co-oeuvrer. Le développement d’une expertise dans ce projet « déplacé » et « territorialisé » de formation-recherche, sera bénéfique du point de vue de l’innervation globale et fine des territoires où ils se replacent, en lien avec les attentes de la population et le rayonnement extra-métropolitain de l’UDL, lequel doit et peut encore progresser. La stratégie de valorisation passe par la création de services mutualisables dans le cadre d’une collaboration entre l’UDL, le projet de la Chaise-Dieu et son festival de musique, en élargissant le panel à d’autres domaines que la musique. Par l’oeuvre, il s’agit de repenser l’agilité, l’ergonomie sociale et les liens politiques : de repenser les objectifs, la valeur et le sens du travail, en redéfinissant le statut des productions autant matérielles qu’intellectuelles. Ce pôle de formation-recherche pourra également rendre des services exploratoires à l’UDL, notamment pour la définition des méthodes et des approches pédagogiques du premier cycle universitaire. Par ailleurs l’ENSASE développe en partenariat avec le CIEREC une recherche doctorale en architecture depuis trois années. Le projet 2APMI viendra renforcer la jeune équipe de recherche de l’ENSASE « transformations » formée en 2014. La stratégie de valorisation se tournera vers la région AURA, et l’Institut d’Auvergne du Développement des Territoires (IADT) basé à Clermont-Ferrand sera notamment un interlocuteur attendu.
IV. Moyens mis en oeuvre pour atteindre les objectifs
Deux institutions d’enseignement supérieur expérimentent, depuis quelques années déjà, un parcours de formation et de recherche « Ecriture et Architecture » associant des enseignants chercheurs des deux établissements à des créateurs, des chercheurs et des éditeurs, et leurs équipes sous la responsabilité d’Eric Dayre, Professeur et Directeur du Centre d’Etudes et de Recherches Comparées sur la Création (CERCC) de l’ENS Lyon, spécialiste de l’interface recherche et création, et d’Evelyne Chalaye, enseignante-architecte à l’ENSASE. Sous la responsabilité de Mme Anolga Rodionoff, Professeure et Directrice-Adjointe du CIEREC, le Centre Interdisciplinaire d’Etudes et de Recherches sur l’Expression Contemporaine de l’Université Jean Monnet apportera son encadrement doctoral dans le champ des arts contemporains, de l’architecture et de la réflexion sur le devenir actuel des territoires, concernant d’une part ses travaux sur la perception sensible ou la perception intelligible du paysage, et d’autre part, la critique de l’architecture de la production dans la cadre d’une réflexion sur la modernité. Les travaux issus de la réflexion-action et de la pratique pensante donnent lieu à des productions artistiques, des interventions, des recherches et des publications, des expositions sur le site et des expositions itinérantes, donc à un travail curatorial suivi, pour ouvrir les mécanismes de la transmission des savoirs par les pratiques au public des usagers privés ou professionnels de la région AURA.
Le projet LCD2APMI a obtenu le soutien de la municipalité de la Chaise Dieu et du Syndicat Mixte du Projet de la Chaise Dieu, qui mettent à disposition leurs locaux et ressources. Dans le même temps, autour des activités de l’entreprise les Fils Philipon et avec le soutien actif de cette entreprise, se développe le travail de recherche doctorale en liaison avec la thématique « architecture et arts » 2APMI.
Les opérations menées en localisation sur la Chaise Dieu impliquent des résidences artistiques et des séminaires de rencontres avec les professionnels de l’architecture et de l’aménagement. Les résidences accueillent des artistes pour des projets qui contiennent et incluent systématiquement la phase de transmission pratique avec les équipes d’enseignants-chercheurs de l’UDL, et qui programment des restitutions de ces transmissions en lien avec les séminaires et les rencontres. Par an, est prévue la tenue de 5 classes de maître en moyenne, résidences d’artistes et séquences de création-recherche, de même que la tenue d’un symposium thématique de recherche par an.
Déroulé des travaux sur 5 ans et fonctionnement :
Entre 20 et 25 classes de maîtres, de création-recherche, impliquant des équipes composées de chercheurs et de créateurs (sous l’égide du CERCC et du CIEREC) sur des thématiques décidées en commun avec les chercheurs de l’ENSASE, sur une durée comprise entre 5 et 12 jours.
Restitutions, transmissions des classes et expositions des oeuvres et travaux, en lien en concertation avec la commune, l’intercommunalité et le syndicat mixte de la Chaise Dieu.
Tenue de cinq symposiums ou conférences sous l’égide de l’ENSASE, mettant en présence des élus, des professionnels, des architectes, des artistes et des chercheurs autour des problématiques de création et innovation, recherche et développement, apports des territoires et apport aux territoires. Ces travaux développeront les transversalités organisationnelles sur l’espace AURA, en faisant appel à l’expertise de l’IADT (Institut d’Auvergne du Développement des Territoires) basé à Clermont-Ferrand.
Doctorat financé sur trois ans (CIEREC), suivi de deux années pour restitution thématique approfondie dans le cadre des séminaires et des symposiums (CERCC, CIEREC, ENSASE).